Agir vite et intelligemment pour lutter contre les sacs plastiques, une attitude à la portée de tous !

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Sac plastique

 

La pollution de l’air, de l’eau, des sols, le développement durable, le tri sélectif, le problème des sacs plastiques sont tout autant d’enjeux et de gros titres sans cesse évoqués dans nos sociétés. Entre ras-le-bol et volonté d’agir, les populations ne savent plus où donner de la tête ! Des réglementations, des restrictions, des projets de loi sont mis en place et beaucoup agissent sans réfléchir. Cet article a donc pour but de partager avec vous quelques informations, celles dont vous avez besoin pour réaliser que vous pouvez apporter votre soutien, chaque jours, par des petits gestes, faciles.

 

 Ainsi, vous devez savoir qu’il faut 400 ans c’est le nombre d’années qu’il faut à un sac plastique à usage unique pour se dégrader ! Pour une durée d’utilisation moyenne de 20 minutes, il faut compter plus de quatre siècles pour que le sac se décompose dans la nature, vous imaginez ? Ce n’est pas tout, chaque année, environ 500 milliards de sacs plastiques sont distribués dont plus de 120 millions échouent finalement sur les côtes. Par seconde, quatre sacs supplémentaires polluent nos plages. Cette pollution est donc, comme vous le savez, une catastrophe pour l’environnement : la pollution de la nappe phréatique met en péril l’agriculture, la pollution atmosphérique causée par le dégagement de dioxine (source de cancer du poumon) lors des feux de brousse ou d’ordures dont les sacs plastiques, ainsi que l’imperméabilisation progressive des sols due à l’accumulation de sacs plastiques qui empêchent l’eau d’infiltrer la terre, ce qui provoque des inondations.

C’est bien beau de parler de désastre pour l’environnement mais après un tel constat, l’heure est à l’action. Beaucoup évoquent des plans d’actions à long terme alors qu’il s’agit dans un premier temps de dégager la nature de cet encombrement. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Il semble être à la portée de chacun de ne pas jeter ses déchets et de ramasser ceux qui polluent nos rues. En effet, il paraît normal de commencer par traiter la cause du problème directement avant de réfléchir à toutes sortes de plans complexes et techniques pour l’avenir : dépolluer l’environnement est donc une priorité immédiate. Cette logique gagne du terrain et fait l’objet de projets collectifs et sociaux. Des opérations de ramassage de sacs plastiques sont lancées pour, dans un premier temps, contribuer à la préservation de l’environnement, mais également pour sensibiliser les populations. Récemment, en France, des élèves du cours primaire accompagnés de leurs professeurs et d’élus ont participé à une opération de nettoyage de déchets. En une heure de temps, ils ont pu ramasser 900 litres de déchets inconsciemment abandonnés par les promeneurs et les sportifs qui viennent régulièrement profiter des bords de la rivière. Cette gestion relève des collectivités territoriales et dépendent alors de leurs initiatives et s’accordent aux directives européennes. Le ramassage de ces déchets se retrouve au coeur des débats et les fonds dédiés à cette “cause” ne cessent d’augmenter afin de les récolter et de les recycler pour un monde plus durable. L’odyssée 2015, Race for Water avait en son temps dénoncé le fait que les collecteurs de rue, appelés également chiffonniers, ne s’occupaient pas des déchets plastiques tels que les sacs. L’idée était donc de les rémunérer pour accentuer les démarches de “dépollution”.

D’autres moyens de prévention sont alors instaurés pour faire face à cette catastrophe environnementale. Certains groupes ont mis en place des dispositifs permettant de réintégrer des tonnes de déchets plastiques dans leur cycle de production. Onéreux et technique, ce moyen de récupération des déchets se développe aujourd’hui grâce à la recherche et développement. D’autre part, le tri sélectif reste d’actualité permettant de recycler les déchets afin de préserver les énergies non renouvelables et d’éviter la pollution. Cette mesure permet d’apporter une attention particulière à notre consommation en générale. Ce sont des petites habitudes de ce genre qui peuvent aider et la consommation de sacs plastiques en également fait partie. Ce n’est pas pour rien que l’interdiction des sacs plastiques à usage unique se répand à travers le monde. En effet, tous ces sacs plastiques à usage unique qui étaient mis à votre disposition un peu partout sont en grande partie responsables de la pollution des sols et des eaux. Ces sacs plastiques à usages uniques sont donc de plus en plus remplacés par des sacs réutilisables mais également par des sacs biodégradables et/ou compostables.

C’est à nous d’agir, changeons nos comportements !

 

Liens:

http://www.centre-presse.fr/article-522705-ils-ont-nettoye-la-sauvagerie.html

http://www.liberation.fr/futurs/2017/04/09/plongee-dans-l-ocean-plastique_1561588

http://www.ladepeche.fr/article/2017/03/16/2536676-chasse-aux-depots-sauvages.html

http://www.massolia.com/bio-durable/campagne-d-e-ramassage-des-sacs-plastiques-usagers-et-leur-elimination/

 

 

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